Marc Morgenstern, pdg d’Overpeer, qui affirme développer des logiciels contre le piratage de fichiers musicaux
L’industrie américaine du disque et du cinéma cherche -de nouveau- à effrayer les internautes adeptes de l’échange de fichiers via les plateformes P2P. On connaissait les menaces par
messagerie instantanée ou les procès engagés contre les adeptes du P2P. Aujourd’hui, les attaques techniques sont à l’ordre du jour ! C’est en tout cas ce qu’explique un
article du New York Times. Blocage à distance d’un ordinateur, envoi d’un cheval de Troie détruisant les MP3 "illégaux" sur le disque dur de l’internaute, intervention sur la connexion dans le but de la ralentir, voire de la fermer...
"Notre philosophie est de faire du téléchargement de musique piratée une expérience longue et frustrante, sans enfreindre la loi", explique Marc Morgenstern, pdg d’Overpeer. Cette société de développement informatique, qui emploie une quinzaine de salariés, est présentée par le New York Times comme la plus importante de ces traqueurs de "pirates".
Software bullet is sought to kill musical piracy (NY Times):
http://www.nytimes.com/2003/05/04/b...