Des citoyens Japonais ont été assez crédules pour verser de l’argent à de prétendus proches qui les avaient appelés au téléphone en disant simplement : "C’est moi !"
Selon les statistiques de la police, 3 807 personnes ont signé pour 2,3 milliards de yens (17,72 millions d’euros) de virements aux usurpateurs. Ces derniers prétendaient avoir un besoin urgent d’argent pour des raisons diverses, allant d’un accident avec une voiture non assurée à une grossesse non désirée.
"Un ’bonjour, c’est moi!’ qui peut rapporter gros au Japon" (AFP)
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