L’association a tenu lundi soir une conférence de presse à la Bourse du Commerce de Paris en présence d’Annick Bureaud et Roger Malina, directrice et président de l’association, ainsi que le théoricien Frank Popper, Karen O’Rourke, artiste et universitaire qui a lancé en France la campagne de soutien, l’artiste Maurice Benayoun, Meryem Marzouki de l’association IRIS (dont la pétition en ligne a déjà reçu plus de 1300 signature) et Valentin Lacambre d’altern.org.
Les responsables de Leonardo (OLATS) interviendront enfin samedi 25 mars prochain lors de deux évènements artistiques et multimédias se déroulant simultanément à Paris. Ils présenteront tout d’abord leurs 30 ans d’activités lors de "Société Virale, Cimetière Global", événement réunissant DJ’s et VJS pour un mix images et sons des plus tendances à Accès Local, espace d’art indépendant (de 15 à 17h, rens.
http://www.acces-local.com), puis lors de Copyleft Attitude, organisé par Antoine Moreau, pour une discussion plus informelle et centrée sur l’affaire en cours, en présence de juristes, artistes et promoteurs de l’esprit du "libre" (voir notre dossier et
http://copyleft.tsf.org).
On signalera enfin le soutien financier de Daniel Langlois, fondateur de la fondation du même nom, et la récente prise de position de l’Association Internationale des Critiques d’Art, forte de 4000 critiques répartis dans 75 pays. Cette association appelle Transasia à arrêter ce "grotesque procès, au risque de se ridiculiser et de se discréditer aux yeux de l’ensemble de la communauté artistique, intellectuelle et scientifique du monde entier".
OLATS, qui a été récemment contactée par Transasia, devrait discuter d’ici peu avec eux au sujet d’une éventuelle médiation.