La théorie dite des "6 degrés de connaissances", également baptisée "petit monde", veut que pour relier deux quidams pris n’importe où dans le monde, il y ait une chaîne formée de six personnes au maximum, chacune en connaissant une autre.
Cette théorie pourrait être en train de donner un second souffle aux start-ups, explique le quotidien en ligne NetEconomie. Les réseaux de rencontre en ligne, d’abord dédiés aux rendez-vous amoureux, connaissent de plus en plus de succès pour chercher un emploi ou trouver des partenaires commerciaux.
Aux Etats-Unis, l’un de ces nouveaux réseaux, baptisé Spoke a levé 9 millions d’euros d’investissement pour un logiciel permettant d’étoffer ses contacts professionnels à partir de sa messagerie e-mail. De son côté, la plateforme grand public Friendster connaît un succès exponentiel, grâce à son système de parrainage pyramidal, par lequel chaque abonné gratuit invite tous ses amis à le rejoindre.
Pour l’instant, seule une start-up française (iPropi) se serait lancée sur ce nouveau marché du bouche-à-oreille commercial.
La théorie des 6 degrés réveille les start-up américaines (NetEconomie)
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