Près de 160 000 personnes meurent déjà chaque année des effets secondaires du réchauffement climatique (malaria, malnutrition, etc.) et ce nombre pourrait doubler d’ici à 2020, d’après une étude de l’Organisation mondiale de la santé.
La plupart des décès à venir auront lieu en Afrique, en Amérique Latine et dans le Sud-Est asiatique, là où l’extension de la malnutrition, des diarrhées et de la malaria sera la plus rapide, à mesure que les températures moyennes vont augmenter et que les inondations vont devenir plus fréquentes.
"Les maladies renforcées par le réchauffement affecteront d’abord les populations les plus jeunes", précise, à Reuters, le professeur Andrew Haines, de l’Ecole d’hygiène et de maladies tropicales de Londres, qui a contribué à l’étude.
"160,000 Said Dying Yearly from Global Warming" (Reuters):
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