Le site internet de la société SCO, propriétaire de la plateforme Unix, a été victime d’une attaque
par déni de service pour la seconde fois cette année, empêchant nombre d’internautes d’accéder
aux serveurs américains et britanniques de l’éditeur, submergés de requêtes. Cette attaque
intervient alors que SCO, déjà en procès avec IBM, réclame des royalties aux utilisateurs du
système libre Linux, qui intégrerait illégalement des bouts d’Unix dans son code-source.
Eric S. Raymond, figure du libre et avocat de Linux, s’est fendu d’un mail pour demander l’arrêt immédiat des
hostilités, qu’il obtînt aussitôt. L’avocat a déclaré ignorer l’identité exacte
du "pirate" mais le décrit comme un membre de la communauté du libre, "quelqu’un de très expérimenté
sur internet" :
SCO Web Site Is Targeted Over Internet (AP)
http://www.eweek.com/article2/0,395...
SCO Web site hit by denial of service attack (Infoworld)
http://www.infoworld.com/article/03...
Le retour du ".xxx" pour les sites pornos ? Alors que l’ICANN avait refusé cette extension
dans ses dernières régulations, le ".xxx" pourrait cette fois être accepté compte tenu de la
nouvelle législation américaine sur les noms de domaine et la protection de l’enfance sur
internet. Le Protect Act prévoit des peines d’emprisonnement pour les webmestres qui proposent
du matériel pornographique derrière un nom de domaine non explicite, anodin, ou tombé en
déshérence. L’exemple le plus fameux cité par Wired étant Whitehouse.com, qui porte en fait
le même nom qu’un magazine britannique pour adultes ayant pignon sur rue, mais dont un public
non averti serait en droit d’attendre tout autre chose :
Sites Reconsider X-Rated Domain (Wired)
http://www.wired.com/news/culture/0...
A l’instar de nombreux musulmans, l’inventeur jordanien Fawaz Abou Ragheb oubliait trop souvent
le nombre de génuflexions qu’il avait effectuées au cours de l’une ou l’autre des cinq prières
quotidiennes obligatoires. Il a alors décidé de munir son tapis de prière traditionnel d’un
dispositif électronique à l’emplacement où le front doit toucher le sol. La puce indique le nombre
de génuflexions, qui varient d’une prière à l’autre.
"F.A.R" a déclaré que cette invention lui avait coûté 65.000 dinars jordaniens (environ 100.000
dollars) mais qu’il comptait la commercialiser à un prix "abordable". Il a précisé qu’il avait
reçu une "fatwa" (décret religieux) spéciale du centre de recherches d’Al-Azhar, la plus haute
autorité de l’islam sunnite basée au Caire, homologuant ce nouvel outil :
Un tapis de prière pour musulman distrait (AFP)
http://fr.news.yahoo.com/030825/202...