Les hackers seraient les héritiers des grandes luttes politiques des XIXe et XXe siècles, c’est ce qui ressort d’une conférence qui s’est tenue à Londres.
On a longtemps considéré les hackers comme un tas de bidouilleurs acnéiques, vissés à leur écran 24 heures sur 24. Quand on ne les mettait pas dans le même panier que les nuisibles pirates informatiques... Et s’ils étaient les nouveaux rebelles, s’ils étaient les hippies, les punks du XXIe siècle ? s’interroge le quotidien anglais
The Guardian. C’est la question, plutôt intéressante, à laquelle le très sérieux Institut des Arts Contemporains (ICA) de Londres a tenté d’amener une réponse au cours d’une conférence très courue. S’y trouvaient, en effet, les grands noms du hacking comme Paul Mobbs (des Electrohippies), venu expliquer les tenants et aboutissants de la lutte idéologique menée contre les ...tats et le grand capital dans le cyberespace.
(Pour connaître la question dans le détail, voir notre dossier
Vive la dissidence !).