A nos confrères de Libération, la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE) avance que « plus de la moitié de la coopération internationale et entre 20 et 30 % des interceptions (écoutes, nldr) concerne le terrorisme ». Mais à quoi peuvent bien servir les 70% à 80% restants ?
La DGSE possède une dizaine de stations d’écoute et interceptions des télécommunications. Un système d’espionnage électronique ironiquement surnommé "Frenchelon" par les
Anglo-saxons, qui utilisent leur réseau "Echelon" pour la lutte anti-terroriste, mais également l’espionnage industriel.
Dans un grand effort de communication, la DGSE annonce le lancement prochain d’un site web.
La lutte antiterroriste amène la DGSE à communiquer sur elle-même. Une première.
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