Microsoft a avoué la présence d’un défaut majeur dans la plupart des versions de son système
d’exploitation Windows (Windows NT, Windows 2000, Windows XP et le nouveau système
d’exploitation de Microsoft pour les ordinateurs en réseau Windows Server 2003), qui pourrait
permettre à des hackers de prendre le contrôle d’un
ordinateur via internet pour lire, voler ou effacer les données. C’est d’ailleurs un groupe de
hackers polonais, Last Stage of Delirium, qui a révélé la faille et a aidé Microsoft à la
résoudre. Un patch téléchargeable est disponible pour
résoudre le problème. L’entreprise de sécurité informatique Internet Security Systems
(ISS) a qualifié le défaut de "menace énorme" et a ajouté que les "patches appropriés fournis
par Microsoft devaient être utilisés immédiatement". Le président de Microsoft, Bill Gates,
avait promis il y a 18 mois d’améliorer la sécurité et la fiabilité de ses produits, rappelle
l’agence Reuters.
Microsoft met en garde contre une faille importante de Windows (Reuters)
http://fr.news.yahoo.com/030717/85/...
Microsoft warns of critical Windows flaw (News.com)
http://news.com.com/2100-1009_3-102...
La norme d’internet sans fil par ondes radio Wi-Fi ne sera pas présente aux Jeux olympiques
d’Athènes 2004. Le niveau de sécurité insuffisant de cette technologie a été mis en avant par
les experts et techniciens mandatés par le Comité international olympique (CIO). Le Wi-Fi n’a
décidément pas la cote : en 2002, aux JO d’hiver de Salt Lake City, il n’avait déjà pas été retenu,
seul un groupe de biathlètes l’avait utilisé, contre les recommandations officielles, pour
calculer des temps de parcours. Le CIO n’est pas très intéressé par les logiciels libres non
plus : c’est le système Solaris de Sun qui a été choisi pour équiper les 10 000 ordinateurs et
850 serveurs lors des épreuves.
Athènes 2004 : le Wi-Fi toujours boycotté aux Jeux olympiques (ZDNet)
http://news.zdnet.fr/story/0,,t118-...
CNN.com consacre une page à l’artiste Sam Easterton et à son projet "Animal, Vegetable, Video",
qui consiste à fixer des caméras sur des animaux sauvages pour voir le monde de leur point de
vue. Ces documentaires animaliers d’un genre spécial durent jusqu’à ce que les caméras tombent
de la tête des bêtes. "Si les humains voient les choses comme les voient les animaux, ils feront
sûrement plus attention à eux et à leur habitat", estime Easterton. L’artiste avait aussi tenté
d’autres expériences, comme poser des caméras dans une machine à popcorn ou un séchoir à linge.
Les caméras de Sam Easterton sont habiuellement utilisées les forces de l’ordre pour la surveillance des
personnes, rapporte CNN :
Animal cams offer strange world views (CNN.com)
http://www.cnn.com/2003/TECH/scienc...