Dans les conseils d’administration des dotcoms, on ne trouve que 4 % de femmes. Elles sont à peine plus nombreuses (16 %) dans la catégorie plus large des « executives », c’est-à-dire les cadres opérationnels. Amazon, par exemple, fait chuter les statistiques : dix dirigeants, zéro femme. AOL ? Vingt mecs en costard, personne en tailleur. L’étude, publiée récemment par the Anneberg Public Policy Center (université de Pennsylvanie), propose, quand même, quelques remèdes pour féminiser ce monde de brutes.
Au programme : audit interne, repérage et, ensuite, formation pour « winneuses ». Parce qu’elle les valent bien.