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9/01/2001 • 16h53

ARCHIVES 1.09 - Qui a peur des monnaies virtuelles ?

À nouvelle économie, nouvelles devises ? Pas encore, mais ce ne sont pas les idées qui manquent. Les ...tats, seuls habilités pour l’instant à battre monnaie, se sont engagés dans une véritable partie de cash-cash avec le Web..

Dix minutes ne se sont pas écoulées depuis que Jean Toulemonde, conseiller en organisation, a remis son rapport. Voilà déjà son salaire : un mail d’une valeur de 30 000 e-pez vient d’atterrir dans sa boîte de réception. La société belge Untel Technologies Conseiller lui avait commandé une étude prospective à distance. À la réception de ses travaux, l’envoi d’un simple mail a suffi pour verser ses honoraires à M. Toulemonde. La transaction est restée cryptée de bout en bout. Les données sensibles de l’entreprise ne sont pas ébruitées ; quant au consultant, il est payé quasi instantanément dans une monnaie largement acceptée sur le Net. En effet, depuis que la Grande-Bretagne a adopté l’e-pez comme monnaie nationale pour remédier à l’effondrement de la livre, de nombreux pays ont suivi son exemple. L’Argentine, l’Inde, les Caraïbes ont fait le même choix afin d’être les principaux bénéficiaires de l’essor du commerce électronique sans frontières. Mais la devise virtuelle circule également dans l’Euroland, où la monnaie officielle s’est considérablement affaiblie. Les autorités n’ont aucun moyen d’arrêter cette lame de fond : même l’...tat ne peut contrôler les transactions cryptées entre particuliers. Arrêtons là l’économique-fiction : l’e-pez n’existe pas. À ce jour, aucune monnaie virtuelle digne de ce nom, c’est-à-dire dématérialisée et largement acceptée, n’a pu s’imposer. L’idée même d’un cash virtuel, qui préservait l’nanymat de son détenteur a un peu perdu de sa superbe depuis la liquidation de DigiCash, en 1998. Cette entreprise pionnière, fondée par David Chaum (lire son portrait p. 59), avait convaincu 70 000 personnes d’ouvrir un compte « Ecash ». Plusieurs dizaines de commerçants étaient partenaires. Mais les banques et les ...tats ont fait barrage.

Monopole position

C’est qu’avec de l’argent virtuel et anonyme, ils ont trop à perdre. Leurs revenus, d’abord : comment taxer les bénéfices des sociétés, imposer les salaires ou prélever des droits de douane quand les transactions sont cryptées et secrètes ? Leurs monopoles ensuite, sur l’émission de la monnaie pour la Banque centrale, sur la gestion des moyens de paiement pour les banques privées. Les ...tats se verraient privés, de fait, de leur pouvoir de régulation économique (contrôle de la masse monétaire, fixation des taux d’intérêt...) et d’un de leurs pouvoirs régaliens : ils sont les seuls détenteurs du droit de battre monnaie. Au Comité des établissements de crédit et des entreprises d’investissement (CECEI), qui travaille avec la Banque de France, on clame haut et fort que la monnaie doit rester dans la sphère étatique : « Si de tels systèmes se développent en dehors du cadre “normal”, on ne peut plus contrôler la masse monétaire. La monnaie virtuelle remet en question le pouvoir des ...tats. C’est une question cruciale : qui va réguler l’économie ? » Sur le plan juridique, l’e-cash est carrément une hérésie. « En France, tous les systèmes d’émission virtuels posent problème, explique Cyril Rojinsky, avocat au cabinet Freeshfields Bruckhaus Deringer. Le monopole régalien interdit à quiconque en dehors de la Banque de France d’émettre de la monnaie. » Sans compter que toutes les mafias du monde seraient heureuses de disposer d’une monnaie échappant aux contrôles étatiques, pour s’abriter derrière le secret monétaire du cyberespace. Malgré les préventions des ...tats, le Net continue à chercher sa monnaie. Car le commerce électronique sans frontières a besoin d’une devise à sa mesure. Les transactions internationales coûtent cher, sont lentes, et le flottement des changes crée une insécurité commerciale. Quant aux moyens de paiement en ligne, ils sont aussi faiblement sécurisés que peu satisfaisants. Sur le Net, 95 % du montant des échanges est réglé par carte bancaire. Les numéros qui transitent par le Réseau sont quasiment toujours cryptés, mais un pirate peut parfaitement mettre la main sur les données stockées dans les serveurs des commerçants. Sans parler des sites de carding, sur lesquels figurent des listes de numéros de cartes bancaires. De plus, la carte ne permet pas d’effectuer des micropaiements, car les transactions inférieures à quelques dollars coûteraient trop cher en commissions aux commerçants. Enfin, elle interdit les paiements entre individus, pourtant très prisés depuis l’explosion des enchères en ligne. Avec une monnaie virtuelle, tout cela deviendrait possible. Le couple carte bancaire-monnaies traditionnelles n’est plus la panacée. L’institut d’études Jupiter estime d’ailleurs que la part de la carte bancaire dans le réglement des transactions tombera à 81 % d’ici à 2003. Personne ne sait qui va s’engouffrer dans la brèche. Les entreprises et les individus seront-ils en mesure de battre leur propre monnaie ? C’est ce que prédisait le père du monétarisme, Friedrich von Hayek, dans La Dénationalisation de l’Argent (1976) : « Je n’ai plus aucun doute sur le fait que les entrepreneurs, s’ils n’en étaient pas empêchés par les gouvernements, auraient depuis longtemps déjà procuré un large choix de monnaies au public. » Ou bien les banques et les ...tats reviendront-ils sur le devant de la scène, après quelques années d’atermoiement ? En fait, le secteur financier préférerait organiser lui-même les moyens de paiement en ligne. D’autant que le commerce électronique est un marché juteux. Plutôt que de laisser la monnaie du Net aux mains des barbares de la netéconomie, les banques et les compagnies de carte bancaire réagissent en s’alliant à des prestataires technologiques. Ce qu’elles veulent, ce sont de nouveaux porte-monnaie pour ranger de vrais francs ou de vrais dollars dans des serveurs informatiques. Leur obsession est sécuritaire : elles vont tout faire pour barrer la route aux pirates, mais aussi pour vérifier l’identité des acheteurs, et limiter les répudiations de paiement. Las ! L’incarnation française de cette politique, Cyber-Comm, a quasiment échoué. SET, la solution élaborée par Visa et Mastercard, fait un flop (lire l’encadré p. 50). Les institutions financières ont trop négligé le souci d’anonymat et de simplicité d’utilisation. Seul American Express a fait un effort, en annonçant, en septembre, la mise au point d’un nouveau système évitant que les coordonnées bancaires ne soient revendues ou piratées : un numéro de carte « jetable », généré aléatoirement à chaque nouvelle transaction sur le Réseau. Mais n’est-il pas un peu tard ? Le compte invisible Profitant de l’attentisme des banques, d’autres acteurs s’emparent du marché de la monnaie du Net. La start-up californienne Confinity, adossée à la banque virtuelle X.com, a fait un tabac avec Paypal. Ce système permet d’envoyer de l’argent par mail, voire de le transmettre par infrarouge entre deux agendas numériques. Exemple : pour payer l’affiche que j’ai achetée sur le site d’enchères eBay, j’envoie un ordre par mail à Paypal, qui le répercute à mon vendeur. Paypal propose à ce dernier d’ouvrir un compte chez X.com pour récupérer son argent... Un simple courrier électronique suffira. En dix mois d’existence, l’entreprise a séduit 4 millions d’utilisateurs. Elle part maintenant à la conquête du monde, comme l’explique Vince Sollitto, de la maison mère, Confinity : « D’ici à la fin de l’année, nous allons donner la possibilité d’ouvrir des comptes en dollars aux Français. Nous nous installons en Europe, en Asie, en Amérique latine. Peut-être ouvrirons-nous aussi des agences bancaires sur place en 2001. » Pour l’instant, cette monnaie virtuelle n’est rien d’autre qu’un moyen sexy d’échanger des dollars. Encore plus ambitieux, un groupe d’investisseurs privés a racheté les 17 brevets de DigiCash, dont celui de la technique de la « signature aveugle ». Elle protège l’anonymat des consommateurs tout en garantissant le marchand contre les défauts de paiement et les répudiations abusives. Ils ont lancé ECash Technologies en 1998. Cette plate-forme de paiement composée de multiples devises, basée en Allemagne et présente aux ...tats-Unis, a passé des accords avec la Deutsche Bank et le Crédit Suisse, entre autres. « Et comme nous ne sommes pas liés à une banque, nous sommes libres de nous allier à diverses institutions financières pour qu’elles labellisent notre produit sous leur propre nom », se félicite Andrei Torriani, le vice-président Europe. ECash est dans le système. Mais ECash est également sur le Réseau, partant des besoins du commerce électronique pour définir son offre. C’est ce qui fait sa force, ainsi que celle des Beenz, Flooz, et autres Mypoints. Ces « monnaies-marketing » créées par des sociétés commerciales, sont apparues lorsque la netéconomie a pris son essor. Elles sont l’équivalent en ligne des programmes de fidélisation inventés par les compagnies aériennes : en multipliant les voyages, on gagne des miles, des points convertis en unités de distance, pour repartir en voyage à moindre coût avec la même compagnie. Sur le Web, on s’enrichit en surfant, en cliquant sur des bandeaux de publicité, ou bien en effectuant des achats auprès d’un site partenaire. L’émetteur de la monnaie n’a pas besoin d’avoir le statut de banque pour ouvrir des lignes de crédit, dont nul ne sait d’ailleurs s’il détient la contrepartie en monnaie réelle dans ses coffres. Son produit est tout sauf du cash : l’objectif n’est pas de préserver l’anonymat des individus, mais d’obtenir un maximum d’informations sur leurs habitudes de consommation. Quand on est un géant du commerce électronique, façon AOL ou Microsoft, la monnaie virtuelle peut devenir un instrument non négligeable. Les monnaies-marketing ont un vaste potentiel sur Internet, car elles peuvent devenir généralistes. Les compagnies aériennes cantonnent aujourd’hui leurs partenariats aux secteurs d’activité connexes, de la location de voitures à la réservation d’hôtel. Mais que se passerait-il si elles s’alliaient à Beenz, déversant leurs trois mille milliards de miles inutilisés dans le système ? Soit près de 60 milliards de dollars... De quoi approcher la masse critique. Surtout si on imagine que les stock-options, comme les primes de fin d’année, puissent être versées en Beenz. Tout le problème est dans l’effet de masse. Une monnaie, comme une langue, ne se contente pas de normes, il lui faut des pratiquants. C’est pourquoi l’économiste Pascal Kauffmann, de l’université Bordeaux-Montesquieu, n’y croit pas du tout : « Les unités de compte du Net ne peuvent être qualifiées de monnaies. Pour cela, il faudrait autre chose qu’une compagnie aérienne : une variété d’acteurs - ménages, entreprises, institutions publiques - qui l’utilisent de façon répétitive et conséquente. Je n’y croirai que si quarante ...tats américains déclaraient leur sécession monétaire... »

Au-delà du rêve...

Hettinga admet que l’anonymat de l’acheteur pourrait mener à « ce qui ressemble fort à de l’anarchie ». Certains vont encore plus loin. Tim May, corédacteur du Manifeste cryptoanarchiste, affirme : « L’e-cash 100 % anonyme ne peut se développer que pour les gens qui en ont vraiment besoin, qu’il s’agisse de criminels ou de femmes iraniennes désirant acheter la pilule. Plusieurs personnes travaillent actuellement à la mise au point de tels systèmes aux ...tats-Unis. » Ce cauchemar des gouvernements pourrait, entre autres, servir au blanchiment d’argent, à l’extorsion de fonds ou à l’établissement de casinos offshore. Totalement illégal et underground, il aurait peu de chances de s’imposer au grand public. « C’était aussi le cas de Napster, qui servait au départ à l’échange de fichiers musicaux piratés entre universités... », rétorque l’ex-ingénieur d’ Intel. Le rêve des cypherpunks existe peut-être même déjà. Fondé en 1998 par Jim McCoy, un ex-développeur de Yahoo !, Mojonation est une sorte de Napster décentralisé et crypté qui permet aux internautes d’échanger anonymement tous types de fichiers : textes, images, vidéos, logiciels, etc. Le cypherpunk McCoy, qui a fait fortune à 30 ans, a déjà investi un million de dollars de sa poche, complétés par les 6 millions levés en octobre auprès de capital-risqueurs californiens. Mojonation vient de lancer sa version bêta. L’entreprise a émis, fin juillet, une dizaine de milliards de Mojos. Cette monnaie virtuelle sera convertible dans n’importe quelle monnaie électronique avant la fin de l’année, sur un marché où le taux de change est fixé par l’offre et la demande. Jim McCoy tente bien sûr de minimiser les risques de dérapage en affirmant sa confiance « dans les hommes et dans la “netiquette” ». Qu’attend encore Jim McCoy dans la vie ? « La fin du procès Napster... » Comme il s’agit d’un système comparable, le verdict pourrait faire jurisprudence pour Mojonation. En cas de pépin, McCoy a tout prévu. Le serveur sensible faisant office de banque, aujourd’hui situé aux ...tats-Unis, pourrait être éclaté entre une multitude d’ordinateurs. Et qui alors pourrait arrêter l’irrésistible ascension des monnaies virtuelles ?•

... le cauchemar ?

Hettinga admet que l’anonymat de l’acheteur pourrait mener à « ce qui ressemble fort à de l’anarchie ». Certains vont encore plus loin. Tim May, corédacteur du Manifeste cryptoanarchiste, affirme : « L’e-cash 100 % anonyme ne peut se développer que pour les gens qui en ont vraiment besoin, qu’il s’agisse de criminels ou de femmes iraniennes désirant acheter la pilule. Plusieurs personnes travaillent actuellement à la mise au point de tels systèmes aux ...tats-Unis. » Ce cauchemar des gouvernements pourrait, entre autres, servir au blanchiment d’argent, à l’extorsion de fonds ou à l’établissement de casinos offshore. Totalement illégal et underground, il aurait peu de chances de s’imposer au grand public. « C’était aussi le cas de Napster, qui servait au départ à l’échange de fichiers musicaux piratés entre universités... », rétorque l’ex-ingénieur d’ Intel. Le rêve des cypherpunks existe peut-être même déjà. Fondé en 1998 par Jim McCoy, un ex-développeur de Yahoo !, Mojonation est une sorte de Napster décentralisé et crypté qui permet aux internautes d’échanger anonymement tous types de fichiers : textes, images, vidéos, logiciels, etc. Le cypherpunk McCoy, qui a fait fortune à 30 ans, a déjà investi un million de dollars de sa poche, complétés par les 6 millions levés en octobre auprès de capital-risqueurs californiens. Mojonation vient de lancer sa version bêta. L’entreprise a émis, fin juillet, une dizaine de milliards de Mojos. Cette monnaie virtuelle sera convertible dans n’importe quelle monnaie électronique avant la fin de l’année, sur un marché où le taux de change est fixé par l’offre et la demande. Jim McCoy tente bien sûr de minimiser les risques de dérapage en affirmant sa confiance « dans les hommes et dans la “netiquette” ». Qu’attend encore Jim McCoy dans la vie ? « La fin du procès Napster... » Comme il s’agit d’un système comparable, le verdict pourrait faire jurisprudence pour Mojonation. En cas de pépin, McCoy a tout prévu. Le serveur sensible faisant office de banque, aujourd’hui situé aux ...tats-Unis, pourrait être éclaté entre une multitude d’ordinateurs. Et qui alors pourrait arrêter l’irrésistible ascension des monnaies virtuelles ?

Dossier réalisé par Walter Bouvais, Solveig Godeluck, Arnaud Gonzague et Alexandre Piquard, Illustration Beb Deum

 
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